Séance du 25 février « SILENCE » – Ayamé

Séance du 25 février « SILENCE » – Ayamé

Je vous relate ici notre séance d’hier soir. Délicieuse, rythmée, intense.
Je reçois, alors que je me douche après ma journée demande travail, confirmation des instructions déjà évoquées dans l’après-midi. Maître a tout préparé. Ce soir je suis sa poupée articulée. Un corps, des orifices, et c’est tout.


Masquée, bâillonnée, lubrifiée, j’attends son arrivée. Mon maître ne se fait pas attendre. Il me trouve offerte, ouverte, trempée, cambrée, objetisée. Je suis sa poupée et je me tais.


Ce soir, Monsieur n’est pas Monsieur. Il est une bête. Il veut se servir et me le fait bien comprendre en m’assenant quelques ordres très brefs n’appelant aucune discussion. Je le laisse tourner autour de moi sans rien entendre ni voir. Je me tais. Je suis soumise et obéissante. Il arrive à m’approcher sans que je ne le sente venir. Il me fait tout, alterne les impacts et les pénétrations. Chacun de ses assauts me fait mouiller encore un peu plus. Arriverais-je a ne pas lui faire entendre le son de ma voix?


Il m’est difficile de me taire. Je jouis, je souffre, je m’évade. Comme à chaque séance, mon Maître m’emmène dans un voyage aussi inattendu que spectaculaire : je perds le contrôle. Je ne suis plus. Mon corps et ses sensations sont aux commandes.


il me décore, me rudoie, me pénètre et ma jouissance silencieuse est ma torture. Comment renier mon état ?
Comment ne pas être sa chose muette et immobile ?
Je ne suis plus qu’un animal réduit au silence et au plaisir


Enfin il me prend. Il me possède, me baise, me remplit de sa virilité. Mon animalité décuple. Ma dignité disparaît. La femme n’est plus. Je me fais saillir. Il prend. Il sait. Il peut. Il est le Maître. Mon Maître.


La saillir, c’est bien. La salir, c’est encore mieux.


Le Loup qui habite mon Maître s’y emploie avec ferveur et un certain professionnalisme. Dans le feu de l’action il peut encore filmer la brutalité de sa sodomie. Il est comme ça, mon Maître. Il me fait perdre pied.


La femme n’est plus. L’animale est bâillonnée. 10? 15? 20 orgasmes silencieux? Pas un cerveau ici ne peut encore compter. Le sexe, le don, le plaisir et la connexion des corps sont les seuls étalons de mesure encore fonctionnels. Un accouplement violent et irrépréhensible…


L’ultime possession aura lieu avant les câlins de fin de séance. Le mascara coule déjà. Il prend ma gorge avec indécence. C’est facile pour moi. Je lui suis soumise et je l’aime. Il me baise et me remplit encore. À sa guise.


Merci Maître.
Je vous adore !
❤️🖤🐺🖤❤️


2 COMMENTAIRES

comments user
Courtoisdu78

Je dis juste waouh, bravo pour ce récit

    comments user
    Ayamé

    Merci cher Courtois !